Anne Perrier dans la royauté fragile de vivre
Toutes les choses de la terre
Il faudrait les aimer passagères
Et les porter au bout des doigts
Et les chanter à basse voix
Les garder les offrir
Tour à tour n'y tenir
Davantage qu'un jour les prendre
Tout à l'heure les rendre
Comme son billet de voyage
Et consentir à perdre leur visage
ibid Pour un vitrail (1955) Pierre Seghers , Paris p.155
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